Immédiatement après sa nomination, David Beckham a visité la Division des approvisionnements de l’UNICEF, basée à Copenhague.

Il s’agit du plus grand entrepôt humanitaire du monde. Là, il a vu partir des milliers de tonnes de matériel d’aide d’urgence à destination des enfants touchés de plein fouet par le Tsunami de 2004 qui avait ravagé plusieurs pays de l’Océan indien.

A son retour, David a lancé un appel à la télévision qui a joué un rôle déterminant dans le succès de la campagne que l’UNICEF venait de lancer en faveur des victimes.

 

En 2008, il s’est rendu en Sierra Leone pour attirer l’attention du public sur les piètres conditions de vie et de survie des enfants de ce pays. Lors de sa mission en Afrique du Sud, en 2009, il a participé aux actions de sensibilisation de l’UNICEF visant à prévenir la transmission du VIH/SIDA de la mère à l’enfant. En 2013, en revenant des Philippines, il a prêté son nom et son visage à diverses actions de récolte de fonds destinées à aider les victimes du typhon Haiyan. En 2014, il a réalisé une vidéo visant à enrayer la propagation du virus Ebola.  

 

En 2015, au Cambodge, il a rencontré des enfants victimes d’abus et de violences. Il y a découvert les actions que l’UNICEF déploient pour protéger les enfants vulnérables victimes de ces sévices. Touché par les récits des enfants avec lesquels il a pu s’entretenir, David s’est adressé aux Nations unies et a demandé à la communauté internationale de placer les enfants les plus marginalisés de la planète au cœur des efforts prévus pour réaliser les Objectifs de Développement Durable.


En 2016, David Beckham et l’UNICEF ont produit la vidéo ‘Violence marks forever’ montrant avec elle les séquelles physiques et psychologiques que peuvent avoir la violence et l’exploitation sur les enfants. En 48 heures, le film a eu plus de 15 millions de vues. En partant des tatouages de David Beckham, qui sont associés pour lui à des souvenirs d’expériences et d’événements très positifs, la vidéo montre comment la violence et l’exploitation laissent des cicatrices à vie chez certains enfants partout dans le monde.