Quel est le but ?
Le changement que nous souhaitons atteindre au sein des écoles consiste à mettre en place une culture des droits de l'enfant : d’une part, un environnement qui favoriserait les connaissances des enfants en matière de droits de l’enfant et d'autre part, un environnement favorisant l’exercice et l’application des droits de l’enfant en promouvant le développement de leur plein potentiel.
Une culture des droits de l’enfant stimule le bien-être et la confiance en soi des élèves afin qu'ils puissent s'épanouir pleinement. Nous voulons que les élèves soient conscients de leurs droits, qu'ils les voient se réaliser à l’école et qu'ils puissent y participer eux-mêmes.
Comment atteindre cet objectif ?
Intégrer une approche des droits de l’enfant à l'école, c'est possible. Nous vous proposons de le réaliser via la méthodologie appelée ‘la recherche-action’. Celle-ci consiste à travailler sur une thématique relative aux droits de l’enfant.
Pour y parvenir, trois grandes étapes sont proposées :
La recherche-action combine action et réflexion et implique activement tous les acteurs éducatifs pour trouver des solutions pratiques aux problèmes rencontrés dans les écoles.
Ce processus en 3 étapes peut être répété autant de fois que vous le souhaitez : vous pouvez revoir ou encore modifier certaines actions permettant de trouver des solutions respectueuses des droits de l’enfant.
Vous voulez dès à présent intégrer une approche éducative fondée sur les droits de l’enfant à travers la recherche-action ?
N’attendez plus ! Retrouvez dans ce guide méthodologique les différentes étapes vous permettant de mener à bien votre projet. Vous pouvez consulter le processus complet ou sélectionner une étape spécifique ci-dessous sur laquelle vous souhaitez vous concentrer.
Nous tenons à remercier la direction, les équipes pédagogiques et les enfants des écoles participantes :
- Ecole fondamentale communale De Windroos
- Ecole fondamentale Emile André
- Haute école HOGENT
- Haute école Fransisco Ferrer
Nous remercions également les équipes de recherche de HIVA et INAS pour le travail fantastique.
Ce projet a vu le jour grâce au soutien d'Enabel, l'Agence belge de développement.